Essai longue durée du Flyer Uproc X 9.50

Grande polyvalence

En 2015, Flyer a développé ses tout premiers VTTAE. Nous avons pu suivre l’évolution de la gamme en testant tout d’abord l’Uproc 7 en 2020 puis le très abouti Uproc 6 8.70 avec un cadre complètement revu par rapport à ces prédécesseurs. Ce dernier était très orienté gros Enduro, compétition et bike park. C’est pourquoi Flyer a mis sur le marché son dernier Uproc “X” qui est annoncé bien plus polyvalent et plus All Mountain afin de satisfaire les pilotes aussi bien en montée qu’en descente.

Après une prise en main sur la côte italienne lors de sa présentation presse, une aventure avec Alban Aubert sur les hauteurs de Neuchatel, 4 jours dans la Vallée d’Aoste pour la première édition du All Around eMTB, j’ai pu le rouler également l’été dernier afin de faire un test longue durée durant lequel j’ai exploité ce VTTAE sur divers terrains. Verdict ! 

Texte : Nadine Sapin

FLYER UPROC X 9.50

  • Usage Trail / All Mountain
  • Roues de 29 pouces à l’avant et 27.5 à l’arrière
  • Débattement 150 mm AV et AR
  • Cadre full carbone 
  • Reach 445 mm, stack 622mm, offset (déport de fourche) 65° en M, angle de tige de selle 77°
  • Motorisation Panasonic GX Ultimate 95Nm
  • Batterie Flyer FIB 750Wh
  • Console et commande : Flyer Fit display Compact 2” et Flyer Fit 2.0
  • Mode d’assistance : 4 (Eco, Standard, Auto, High) + assistance à la marche
  • Réglage de l’assistance : oui par le display et par l’application Fit
  • Pneus : Schwalbe Magic Mary/Big Betty 2.6
  • 4 tailles (S, M, L, XL)
  • 4 modèles : Uproc x 2.1 (5449€), Uproc X 6.10 (6449€), Uproc X 8.70 (7449€), Uproc X 9.50 (10249€)
  • Modèle testé ici Uproc X 9.50 en taille S
  • Poids annoncé : 25.2Kg
  • Lien : https://www.flyer-bikes.com

L’Uproc X 9.50 a un look et des finitions très haut de gamme, made in Suisse. 

Ses lignes sont très proches de son grand frère l’Uproc 6 avec notamment cette biellette à 4 points de pivot et également ses roulements surdimensionnés

Pour avoir son identité propre, le Flyer Uproc X se pare d’une nouvelle géométrie par rapport à son aîné avec notamment un angle de selle qui passe de 75.3° à 77° ainsi que des bases arrières qui s’allongent à 460 mm contre 445 mm sur l’Uproc 6

L’angle de direction quant à lui reste similaire entre les 2 vélos 64.5° pour le X et 65° pour le 6.

Cette géométrie moderne a pour but de redresser la position du pilote afin d’améliorer le pédalage et lui donner plus de stabilité aussi bien en montée qu’en descente tout en conservant les qualités de descendeur de l’Uproc 6.   

Les composants

Du côté des équipements, la qualité varie bien sûr en fonction du modèle mais c’est à souligner, ils sont tous équipés avec des composants adaptés au VTTAE de marques fiables, comme Shimano, Sram, DT swiss, RockShox ou Fox. Cependant, comme vous le remarquerez sur les premières photos, faute de matériel disponible à cette période de test, mon vélo d’essai n’est pas équipé exactement comme le sera vélo de série. La différence se porte sur les roues, pneus, freins et sur le poste de pilotage. Pour l’Uproc X 9.50 de “série”, on retrouve, par contre, comme sur mon vélo test une fourche Fox 36, un amortisseur Fox Float Factory Kashima, une transmission Sram X01 AXS 12V ainsi qu’une tige de selle Sram AXS Reverb équipée d’une selle Fizik Aidon.

Les roues de série des DT Swiss HXC 1501 Spline One 30 montée avec des pneus Schwalbe Magic Mary Super Trail 29 x 2.40 et Big Betty Super Trail 27.5 x 2.60. Les freins Shimano XT de l’essai sont de série remplacés par des freins Shimano XTR-M9120 (disques 220/203 mm). De série aussi, on a sur ce modèle un combo cintre-potence en carbone monobloc avec une intégration totale des gaines et un multi-outil logé dans la potence. La fixation du display est aussi intégrée. Que du beau et bon matos !

Enfin, on a aussi la possibilité d’ajouter des lumières amovibles avant et arrière, puissantes et directement branchées sur la batterie. Flyer a donc poussé loin la finition et la qualité de ses équipements !

Le moteur et la batterie Panasonic

C’est le même moteur Panasonic GX que sur l’Uproc 7 de 2020 sauf qu’il a gagné 10Nm et que le logiciel d’exploitation a été amélioré. Il prend donc le nom de GX Ultimate Pro Fit.

Il pèse 2,95 kg et est protégé par un cache moteur en aluminium.

La batterie augmente en capacité à 750 Wh et est logée comme la plupart des VTTAE dans le tube diagonal.

Elle se retire à l’aide d’une BTR (pas de clef) en utilisant l’outil intégré dans l’axe de la roue arrière. C’est pratique. Le capot de la batterie est fixé à cette dernière. 

Pour l’Uproc X 2.10, la batterie est une 630 Wh avec une cale pour l’adapter au cadre. Sinon, les 3 autres modèles ont une batterie en 750Wh de 4,3kg.

Petit bonus, les vélos sont livrés avec un chargeur 6A (sauf le X 2.10) et il est possible de régler via le display la puissance de charge : Normal, Fast ou pour le stockage (hivernage). Un plus non négligeable par rapport aux autres marques ! 

Le display et la connectivité

Le logiciel Fit est bien développé. Il permet de modifier les niveaux d’assistance pour personnaliser son VTTAE mais aussi de se connecter avec des systèmes périphériques.

Par exemple, un moniteur de fréquence cardiaque peut également être connecté via ANT+ ou Bluetooth pour suivre votre rythme cardiaque, des valves de contrôle de la pression des pneus si vous en avez (affichage de la pression d’air à l’écran). 

Comme chez Bosch, une fonction de verrouillage dite “Lock” est également disponible chez FIT en utilisant son téléphone portable ou en actionnant une petite commande permettant de verrouiller le moteur en appuyant sur un bouton. 

Enfin, Flyer annonce une connectivité avec le système de navigation Komoot. Sinon, le système FIT offre tout de même quelques gadgets, comme l’avertissement de température via le symbole flocon de neige ou la mesure de l’inclinaison. 

Pour toutes ces fonctions, l’écran est compact comme une Bosch Kiox 300, par exemple, et parvient à vous présenter toutes les informations pertinentes en même temps. 

Tout se commande via la manette qui est assez volumineuse avec 6 boutons et un petit joystick

Sa manipulation est assez intuitive et ergonomique. On retrouve une option “vibration” qui permet de sentir du bout du doigt son action sur la commande.

Sur le terrain – Prise en main lors du presse camp

Avant de partir rouler, la journée commence par des petits réglages avec le mécano de chez Flyer afin de régler les suspensions, comprendre le display et faire la pression des pneus (je ne connaissais pas les Porcupine mais je les ai gonflés comme d’habitude (1 bar devant et 1.1 derrière car ils semblent durs mais costauds).

Je change juste les poignées car je me suis habituée à rouler avec des ergonomiques et maintenant je ne peux plus les quitter.

Le vélo est prêt, encore quelques explications pour le fonctionnement du display et je suis prête. Nous sommes à ce moment là fin avril, à Pietra Ligure en Italie avec une bonne bande de journalistes. Pour cette journée test, direction les hauteurs de Finale Ligure pour découvrir cet Uproc X.

La prise en main est rapide. La position est bonne, plus redressée que sur l’enduro Uproc 6. C’est une bonne position pour le All Mountain et pour le pédalage.

En descente, le vélo semble bien maniable et un excellent descendeur. Le cadre carbone associé à cette biellette surdimensionnée permettent de se sentir très en sécurité tout en ayant une cinématique efficace et dynamique

Lors de cette première sortie, j’ai pu un peu m’échapper du groupe lors de la pause de midi pour le tester aussi en montée sur quelques sentiers raides. Là aussi, son comportement semble prometteur en étant bien scotché au sol avec un moteur qui accompagne correctement le pédalage sans à-coups.

Je n’insiste pas plus car j’ai la chance de récupérer le vélo pendant quelques semaines plus tard pour pouvoir le tester dans mes montagnes. J’avais également prévu de participer au All Around EMTB avec ce vélo.

Mes premières impressions sont donc bonnes. Le Uproc X devrait respecter son cahier des charges qui est d’être un pur All Mountain efficace. En tout cas, pour avoir roulé avec l’Uproc 6 de 2021, il me paraît bien plus polyvalent pour aller s’aventurer en montagne que ce dernier.

Après plus de 1000 km et beaucoup de dénivelés…

Il n’y a rien de mieux que les tests longue durée. On apprend à découvrir un VTTAE en toutes circonstances. On peut vraiment prendre conscience de ses qualités mais aussi découvrir des défauts “cachés”… 

J’ai donc gardé l’Uproc X pendant environ plusieurs mois jusqu’en juillet. J’ai pu rouler dans l’intransigeant arrière-pays niçois mais aussi dans le Queyras et en vallée d’Aoste.

Lors de cette période, j’ai fait un dernier changement sur le vélo en mettant des pneus Schwable en 2.8 soft pour avoir un meilleur grip (la gomme des Onza est trop dure) mais aussi pour surélever aussi un poil le vélo afin que les manivelles ne touchent quasiment plus le sol.

Les qualités du vélo en montée se sont confirmées rapidement. Je me surprends à passer des zones techniques sans problème ce qui permet d’être de plus en plus en confiance et de monter de mieux en mieux. J’ai réglé l’assistance des modes à l’avant-dernier niveau et j’ai essentiellement mis le mode Auto voir Turbo dans le très très raide. J’ai également profité du petit bouton “bonus” qui est en bas de la manette et qui permet de passer en Turbo quel que soit le mode où l’on évolue et qui y reste tant que l’on a le doigt dessus avant de revenir au mode initial dès qu’on l’enlève. C’est top.

Je pense que les 95 Nm m’ont beaucoup aidé. Il ne faut pas hésiter à avoir une haute fréquence de pédalage et le vélo réagit parfaitement. Lors de la présentation presse, j’ai entendu quelques remarques de mes confrères qui trouvaient le moteur trop puissant et déséquilibrant avec ce type de réglage mais je pense en fait qu’ils devaient le piloter trop en force. Le moteur leur répondait trop efficacement. En tout cas pour moi, j’ai vraiment apprécié le moteur Panasonic en trouvant en plus le mode Turbo bien linéaire, ne donnant pas d’à-coups ou de sur réaction comme d’autres moteurs qui vous poussent parfois à freiner pour contrôler le vélo.

Par contre, lors de la course en Aoste (lire mon compte rendu All Around eMTB), nous montions quelquefois sur de très longues pistes vraiment raides. Au bout d’un certain temps, j’ai eu le voyant de la température qui s’est affiché. Le moteur s’est mis en sous régime (protection des cellules de la batterie en cas de surchauffe). Mais soyons honnêtes… Certes, le système Panasonic affiche le problème mais comme j’avais des concurrents à mon niveau, je peux vous dire qu’au même moment, le moteur Brose était aussi en “sous régime” et le Bosch ne semblait pas plus efficace. Je pense que la mécanique à ses limites quelle que soit la marque

Un autre point positif/négatif est le mode à la marche. Facile à actionner (double clic sur le bouton de bas de la manette), il fonctionne parfaitement bien quand ce n’est pas trop raide avec du bon grip. Il fonctionne tellement bien qu’il est trop rapide et on doit presque courir à côté. Par contre, dans les portages techniques (passage de gros rochers, sentiers raides très fuyants), on ne court plus, on marche comme un escargot car le moteur se met en sécurité antipatinage et n’aide plus. Il n’y a plus rien à faire qu’attendre que cela se réinitialise mais suivant l’obstacle à franchir ce n’est pas possible pour le pilote. 

J’ai bien sûr prévenu Flyer de mes constatations. D’après le responsable France, ces 2 points vont être reprogrammés pour les vélos de série (lors d’une mise à jour). Espérons que cela corrigera ces défauts car c’est dommage. 

En effet, à part ça, on ne peut qu’apprécier l’Uproc X pour partir à l’aventure en montagne. 

Très efficace en montée, il permet de passer les virages compliqués des sentiers alpins. Avec une bonne répartition des masses, et une position du pilote permettant facilement de placer son poids sur l’avant du vélo, l’Uproc X est redoutable dans les portions techniques, tout en étant en plus confortable. On ne peut que progresser avec l’Uproc et son moteur Panasonic.

Pour la descente, bien que sa géométrie soit moins axée descente, il assure dans les parties rapides, cassantes et vire parfaitement bien. Les descentes sont agréables à dévaler. Il est très confortable tout en étant très efficace et rigide. Les roulements surdimensionnés et la grosse biellette en carbone déjà présente sur son grand frère, jouent parfaitement leur rôle et en font un VTTAE All Mountain parfait. Bien que je n’ai pas un pilotage très agressif, j’ai bien senti qu’on pouvait encore en demander à la cinématique, elle restera efficace et s’harmonise bien avec la rigidité du cadre carbone.

Niveau suspensions et équipement, rien à dire. Suspension Fox haut de gamme Kashima, freins XTR, et transmission et tige de selle AXS. Que peut-on demander de mieux ? De plus, la selle Fizik à une bonne forme pour le VTTAE – même si je trouve que son revêtement glisse un peu.

Mais en regardant aussi les équipements des vélos moins haut de gamme, on peut constater qu’on perd certes en qualité et en poids (et en prix) mais tout reste bien adapté pour la pratique du VTTAE sportif.

À part ça !

Et oui car rouler c’est bien mais il faut aussi recharger! Là aussi Flyer a assuré en fournissant directement un chargeur 6A avec le vélo équivalent à un Fast Chargeur chez Bosch. C’est bien pratique pour recharger à la mi-journée si nécessaire.

Pour ce qui est du display, on a beaucoup d’indications. Il faut prendre le coup pour voir tous les écrans qui ne sont malheureusement pas paramétrables car sinon, j’aurai mis notamment en gros le pourcentage de batterie. En effet, il s’affiche en tout petit sur un des écrans alors qu’il y a plein de place. Je n’ai vraiment pas compris mais bon j’imagine que c’est un point qui sera aussi rectifié lors d’une prochaine mise à jour.

En parlant de mise à jour justement, si vous achetez une deuxième batterie pensez à en faire une aussi chez votre revendeur avant de partir à l’aventure avec celle-ci car sinon vous n’irez nulle part ! 

A part ça, j’ai rendu le vélo sans son cache moteur qui s’est cassé après plusieurs chocs. Là aussi, d’après Flyer, il va y avoir de nouveaux caches pour les vélos de série.

Enfin, à noter que la peinture est restée d’un bleu laqué impeccable malgré quelques pierres violentes. Il faut juste faire attention aux griffures qui peuvent marquer.

Qu’en penser ?

L’Uproc X a donc montré beaucoup de qualité mais aussi quelques faiblesses après ce long test (je suis un peu pointilleuse). Cependant je l’ai vraiment malmené et poussé au max de mes capacités. Je pense que pour la majorité des pilotes qui n’iront pas aussi loin, l’Uproc X sera un fidèle compagnon de randonnée. C’est un vélo qui permet de repousser ses limites et qui donne confiance au pilote, ce qui permet de progresser et de pouvoir s’aventurer de plus en plus et de mieux en mieux dans les sentiers. 

Quand on voit l’évolution des Uproc en si peu de temps, on ne peut qu’avoir confiance dans la réactivité et l’efficacité de la marque Flyer qui a commencé à livrer en magasin depuis la rentrée 2022… avec des vélos de séries améliorés ou qui le seront très prochainement avec, notamment, des mises à jour du display.

Vis-à-Vis de la concurrence

Je le comparerai au Scor 4060 Z ST, un autre VTTAE All Mountain de 2022 (29 pouces, transmission et moteur Shimano, suspension Fox avec une 38 au lieu d’une 36 sur le Flyer) dont l’essai sera à découvrir sous peu sur VTTAE.fr. Ce sont 2 vélos 2022 de qualités et agréables à piloter pour le All Mountain quel que soit le niveau du pilote. Cependant, ils ont des comportements bien différents. En effet, pour les pilotes ayant un pilotage agressif, qui mettent de forts appuis dans les virages qui veulent privilégier la descente (tout en montant parfaitement bien), l’Uproc X sera plus adapté.

Points positifs

+ Qualité de motricité en montée

+ Cinématique en descente

+ Couple jusqu’à 95 Nm

+ Chargeur 6A

+ Qualité des équipements

+ Paramétrage de l’assistance

Points négatifs

– Aide à la marche et moteur qui chauffe (devraient être corrigés)

– Position exposée du display / Sabot trop fragile (devrait être remplacé)

– Écrans display non paramétrables

  1. Bonjour Nadine.
    Et question autonomie? … Chris a l’habitude de nous toucher un mot concernant l’autonomie et ce serait également bien d’avoir ton avis à ce sujet vu que tu as l’habitude de tester des VTTAE équipés de différents moteurs.
    C’est ainsi que d’après Chris, au vu de tous ses tests, on a pu se faire une idée que question autonomie on peut dire que Brose (Specialized) et Bosch sont dans le haut du panier, semble-t-il suivi de très près par le nouveau Dyname 4.0 et derrière pas trop loin Shimano.
    Où situerais-tu Panasonic?
    Merci pour ton reportage.

    1. Bonjour Eric, c’est une très bonne question et effectivement j’ai oublié de le mentionner dans l’article. De façon général, j’étais en moyenne à 200m de dénivelé pour 10% de batterie en l’utilisant en mode MTB. Après, ce n’est qu’indicatif car tout dépend de la façon de pédaler, du poids du pilote, du terrain, du grip… Au plaisir Nadine

      1. Donc pas mal du tout au niveau autonomie, on peut dire sans se tromper que le Panasonic n’est pas à la ramasse par rapport aux autres… merci beaucoup pour l’info.

  2. Poids annoncé : 25.2Kg..Donc 25.5 kg avec pédales (En étant optimiste) Pour 10200 €.
    Une marque peu connue,difficile a revendre.
    Next ……….:(

    1. Bonjour Gilles, et non la motorisation de ce Flyer n’a pas changé et l’UPROC X est bien et restera un Panasonic. Effectivement, UPROC6 9,5, le gros VTTAE d’enduro de Flyer, est en Bosch mais c’est tout. Donc pourquoi faire des commentaire comme ça?! Chercher l’erreur!! No comment…

  3. L’erreur ? C’est d’avoir le culot de répondre aussi mal et de s’énerver pour si peu alors que Nadine avait raison !
    La prochaine fois, faudra se renseigner comme il faut avant d’agresser gratos ! Et d’ailleurs, on peut aussi pointer du doigt une erreur sans pour autant manquer de respect !

    1. Bonjour Nadine
      Merci pour ce test, très instructif👍. J’ai eu l’occasion de tester l’Uproc X lors d’un E-Bike festival, et j’ai été impressionné par cette motorisation ! j’ai pû tester aussi à 1 jour d’intervalle,l’E-Patron de Scott.Leur géométrie est ressemblante(tige de selle redressée, angle de direction bien ouvert,…). La différence aura été pour moi la motorisation…du coup ma question est de savoir pourquoi un tel moteur n’est pas plus connu et utilisé par d’autres marques ? Autre ressenti lors du test, la fonction auto est aussi bien gérée que l’Emtb de Bosch, fluide.
      J’ai depuis peu acquis 2 Uproc X (ma femme et moi) mais vu les tarifs je suis resté sur les 2 premieres références 😉… .Du coup ta remarque sur les batteries m’interpelle un peu…est ce que cela signifie que 2 batteries ayant des versions logicielles différentes ne sont pas interchangeables ?
      Pour répondre à Pascal,certes c’est une marque peu connu en France ….pour l’instant.Moustache l’était aussi à leur début dans la sphère du Vttae
      Bon ride à toutes et tous pour cette nouvelle année 🚴🚴!

  4. Bonjour,
    Merci pour cet essai. J’ai aussi profité d’être à la montagne cet été pour essayer un FLYER équipé du Panasonic et j’ai effectivement, aussi, été impressionné par ses qualités.
    Quel moteur ! Puissant et économe à la fois.
    J’ai roulé sur des parcours assez cassants et raides, sur les sentiers de Chamonix, pierres – racines, en mode Eco ou Standard et cela passait partout. D’habitude je roule avec un BH Atom avec un moteur Brose qui a déjà beaucoup de couple et, là, j’ai vraiment senti la différence.
    Je ne comprends pas non plus pourquoi ce moteur n’est pas plus commercialisé par d’autres marques… Savez-vous quelles autres marques l’utilisent ?

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