Essai – Commençal Meta Power 29

Commençal… Il y a un peu plus d’un an, la marque qui bénéficie d’une image cool, fun, passionnée et compétitive osait se lancer pour de bon dans l’aventure à assistance électrique avec son premier vrai VTTAE tout-suspendu : le Commençal Meta Power… 

À l’origine équipé de roues et pneus en 27.5 pouces à bonne section. Mais voilà que depuis, le Commençal Meta Power se décline avec roues de 29 pouces, au point que les deux cohabitent au catalogue – en ligne – de la marque Andorrane. Pourquoi ? Que vaut le 29 ? Comment différencier les deux ? Réponse !

 


Temps de lecture estimé : 10 minutes 


 

Au sommaire de cet article :

 

 

[divider]Commençal Meta Power 29[/divider]

[column size=one_half position=first ]

  • Destiné à l’usage All Mountain
  • Roues en 29 pouces 
  • 140/150mm, RockShox Lyrik & Super Deluxe
  • Triangle avant & arrière Alu
  • Reach de 458mm en taille L, offset normal
  • Motorisation Shimano Steps 8000, 500Wh
  • 45km & 1300m D+ env. Trail / i3 perso

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[column size=one_half position=last ]

  • DT Swiss H1700 30mm
  • Maxxis 29×2.4/5 Highroller II/Agressor DD
  • Sram Code R, 200/200mm
  • 3 modèles (2018+19), 4 tailles, 4999€ à 5999€
  • 22,54kg, L, sans pédales, pneus tubeless
  • Dispo immédiate 
  • Fiche du vélo sur www.commencal-store.com

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Premières impressions

[dropcap size=big]S[/dropcap]orti du carton, il n’y a pas de doute. Tubes du triangle arrière plutôt fins, vélo visiblement long, fourche haute, pneus plutôt étroits d’aspect… Il s’agit bien d’un 29 pouces. Pourquoi cette déclinaison ?! À en croire le discours de la marque, ce n’est ni-mieux, ni-moins bien, juste différent en terme de sensations.

Replacé dans le contexte de l’offre pneumatique actuelle, c’est aussi intéressant. En fonction des pratiques et des terrains de jeu, les pneus 27,5 à forte section peuvent être un régal, comme un calvaire. Notamment en matière de résistance à la crevaison sur terrain cassant. Et à ce jeu là, le 29 pouces permet de monter des carcasses plus résistantes, qui n’existent pas forcément (encore ?!) dans tous les diamètres…

Que vaut cette version 29 pouces à l’usage ?! Comme au premier coup d’œil, en action le Commençal Meta Power 29 me parait long. Les premiers temps, il a tendance à tirer droit. Pencher le vélo ne semble pas faire tourner la direction. Il faut le faire soi-même… Et finement, sans quoi la limite d’adhérence à la roue avant se fait sentir.

Face aux premiers obstacles, il faut anticiper pour sauter. Lever la roue avant demande de l’engagement et un certain effort. Tandis que sur terrain cassant, j’ai le sentiment d’un vélo qui tape plus à la roue arrière, qu’à la roue avant. Première impression intrigante… Mais rien n’est perdu : un petit moment passé à jouer des réglages du vélo me permet ensuite de mieux en tirer parti.

 

 

À quoi c’est dû ?!

Prenant le temps de rassembler mes idées et étudier les données à ma disposition concernant le Commençal Meta Power 29, deux observations retiennent mon attention. En premier lieu, la longueur des bases : c’est la véritable différence entre le modèle 27,5 et 29. Elles sont plus longues sur la version à grandes roues que j’essaie.

En second lieu, je consulte le nombre de spacers – pièces en plastique réduisant le volume d’air présent dans l’amortisseur. Le Commençal Meta Power 29 en compte deux, quand son homologue 27,5+ s’en passe. Pour quelle raison ? Bases plus longues = bras de levier plus important. L’amortisseur doit s’y opposer davantage.

Pour autant, je suis plutôt de ces pilotes à alléger le vélo quand ça tabasse, pour m’y reposer quand le terrain est plus lisse. École de pilotage d’un temps où les pneus d’Enduro n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui… Et qu’il avait un peu la résistance de certaines carcasses sur les VTTAE d’aujourd’hui 😉 Bref, ça peut expliquer mes choix de réglages suivants…

 

 

Comment ça se règle ?

Je prend parti de retirer les spacers de l’amortisseur. La suspension y gagne en capacité quand elle n’est pas chargée. Ça ne tape plus, ça débat et avale davantage. À cette occasion aussi, le vélo est un peu plus vivant, s’affaissant légèrement au boitier de pédalier quand je marque les appuis en courbe. Boitier plus bas, angle de direction plus couché, le vélo vire mieux et ne me demande plus de jouer avec les limites d’adhérence.

C’est donc là le travail d’ajustement qu’il faut mener pour tirer parti du Commençal Meta Power 29. Soigner le choix des SAG pour que le vélo s’anime ce qu’il faut, ou au contraire se maintienne, au niveau du boitier. Puis jouer des spacers, pour peaufiner, si besoin. Dans tous les cas, des attentions à envisager si les premières impressions que je relate vous sont familières.

RéglagesAvantArrière
SAG30%30%
DétentesMilieu de plage à 2/3 ouvertesmilieu de plage à 2/3 ouvertes
CompressionsOuvertesOuvertes
Tokens/calesd'origined'origine ou sans
MotorisationToutes configurations possiblesMode intermédiaire principalement

 

 

Comment ça se pilote ?!

Sur ce nouvel équilibre, le Commençal Meta Power livre son vrai caractère. En plusieurs circonstances, son tempérament se démarque et se prête à certaines initiatives précises que voici. Libre à chacun de juger si elles peuvent faire partie de son bagage technique actuel, voir futur… Ou d’échanger de manière constructive en commentaires 😉

[toggler title=”En côte” ]

La longueur des bases est ici un avantage. C’est une des tendances du marché, et le Commençal Meta Power 29 s’y place. Ce choix permet au vélo de ne pas cabrer, ou très peu, en montée, quand la pente s’accentue. On peut donc à loisir se mouvoir sur le vélo pour trouver la meilleure position qui détermine la motricité à la roue arrière. Le placement du corps influence moins sur la propension à cabrer du vélo.

Le caractère que l’on peut prêter aux pneus de 29 pouces se fait également sentir à cet instant. Sur terrain fuyant, la motricité semble plus faible qu’en pneus +, mais le décrochage est progressif. Il se fait entendre avant de se faire sentir. Le Commençal Meta Power 29 se prête donc au jeu de gestion de la motricité que les plus techniques d’entre nous connaissent et peuvent apprécier en plaçant le poids du corps.

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[toggler title=”En courbe” ]

Les réglages évoqués plus haut ont un effet sur le comportement du vélo : ils assainissent son comportement, mais ne le révolutionnent pas pour autant. Le tempérament du Commençal Meta Power 29 est simplement rendu exploitable. Comment ?! En mettant de l’angle ! Pour tourner, il demande à ce que l’on joue du guidon, des coudes, et du pied extérieur en bas.

Clairement, il faut pencher. Il faut oser l’embarquer. Ceux qui ont une appréhension en la matière passeront leur chemin. Ceux qui adorent ça, et aiment lire le terrain pour viser où faire virer le vélo dans un appui naturel que le terrain offre se régaleront. Tout l’enjeu est là.

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[toggler title=”Quand ça va vite” ]

Le reste du temps, tout se prête à ce que les lignes droites soient avalées à pleine vitesse. Qu’il s’agisse de pédaler ou non, que le terrain soit cabossé ou pas. Le Commençal Meta Power 29 est long, et stable, d’autant plus quand la vitesse augmente. Ce n’est pas un vélo d’Enduro à proprement parlé, ses 140mm de débattement rappellent à l’ordre dans ce cas, mais quand même…

Libérée de ses deux spacers, la suspension arrière montée du RockShox Super Deluxe ne s’enfonce pas exagérément pour autant… Et les manivelles en 165mm – quelle que soit la taille du vélo – laissent de la marge pour tourner les jambes mêmes si c’est défoncé. Pas de pitié donc, il faut y aller franco !

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[toggler title=”Quand c’est fin…” ]

Évidement, les pneus de 29 pouces – plus étroits que les 27,5+ gros boudins – permettent certaines choses en matière de pilotage. Notamment de jouer à placer la roue entre deux obstacles, pour la jouer fine. Ici aussi, c’est une question de tempérament et de style de pilotage. L’empattement du vélo, généreux, incite à transférer les masses d’avant en arrière, à décaler les roues latéralement…

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[toggler title=”Au frein à main !” ]

D’ailleurs, quand c’est serré – en épingles notamment – il ne faut pas hésiter à tirer le frein à main. Un coup de frein arrière sec, un coup de rein, et on fait glisser la roue de quelques centimètres pour aider l’ensemble à tourner… Quitte à sortir le pied pour participer à la manœuvre si le terrain le permet/l’exige.

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27,5 ou 29 pouces ?!

Jusqu’ici, mes impressions au guidon du Commençal Meta Power 29 semblent tout de même très liées au format de roues et à la longueur des bases qu’il implique. Alors, forcément, la question se pose : 27,5 ou 29 ?! 

Même si le cadre du Commençal Meta Power 29 diffère de celui de son frère en 27,5, j’ai tenté l’expérience d’interchanger les roues, pour voir. L’occasion de constater que le choix porte sur plusieurs critères, à traiter au cas par cas :

  1. sur quel terrain ? Quelle résistance des pneus est nécessaire ?
  2. vélo plutôt court et joueur, ou long et stable ?
  3. vélo qui filtre et pardonne, ou rend et permet de placer ?
  4. vélo qui motrice ou vélo économe en énergie ?

Libre à chacun de définir sa propre hiérarchie parmi ces questions, d’apporter ses réponses, et de faire les comptes pour se déterminer pour l’un ou l’autre. En un sens, la marque est juste dans son discours : en l’état, ce n’est pas mieux ou moins bien, mais effectivement différent.

 

 

Vis-à-vis de la concurrence ?

Le Commençal Meta Power 29 est aussi différent de la concurrence. Je ne vais pas dresser une liste exhaustive et sans fin des modèles auxquels le comparer. J’en retiens simplement deux, très révélateurs, et peut en évoquer d’autres, de manière respectueuse et constructive, en commentaires.

[toggler title=”Vis-à-vis du Rocky Mountain Altitude Powerplay” ]

Le précédent à l’essai, et les deux vélos à disposition pour un comparatif direct l’espace d’un temps. Clairement deux écoles opposées. Le Canadien joue la carte de la maniabilité, du dynamisme avec ses bases courtes. Il ne tient pas en place, appelle à piloter, sauter, tourner sans cesse.

Le Commençal Meta Power 29 parait clairement plus grand, long, stable, face à ce concurrent. Il n’est clairement pas capable de faire pareil. Il demande à laisser filer davantage par endroit, et à reprendre le dessus à d’autres.

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[toggler title=”Vis-à-vis du Moustache Samedi 27 Trail” ]

Je choisi volontairement le Moustache Samedi 27 Trail, et non Race, pour cerner à quelle pratique le Commençal Meta Power 29 semble se destiner. Au jeu du comparatif, l’Andorran met en évidence certains choix forts de sa conception.

Notamment sa suspension à point de pivot fixe, qui explique en partie le besoin d’être attentif aux réglages pour contrôler la manière avec laquelle le vélo se plie au boitier. Mais c’est aussi ce qui lui donne son caractère. À moins que la longueur des bases aussi entrent dans le jeu ? Dans tous les cas, le Commençal Meta Power 29 semble se révéler lorsque l’on joue sur ce paramètre…

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Pour qui ? Pour quoi ?!

Sur l’ensemble de ces observations, je destine le Commençal Meta Power 29 à une pratique randonnée, All Mountain, ou montagnarde, dans un esprit itinérant plus que dans un esprit très engagé ou ultra technique. Tout porte à croire qu’équipé de roues en 27,5 et de bases plus courtes, le Commençal Meta Power soit plus joueur et fun.

Il y a donc des compromis à faire pour trouver le Commençal Meta Power à son pied. D’ailleurs, j’ose presque pousser le bouchon encore plus loin. Quid d’un Commençal Meta Power, cadre et roue arrière de 27,5 avec bases courtes, et roue de 29 à l’avant ?! Disons que pour l’heure, c’est cette configuration que cet essai m’a personnellement donné envie d’essayer…

 

 

En conclusion…

Il y a donc matière au moment de conclure par la question fatidique : Pourquoi voudrai-je le garder ? 

” De par ses côtes, le Commençal Meta Power 29 appelle à laisser filer par endroit quand, de par le reste, il appelle à engager par moment. C’est un peu l’essence du pilotage à VTT. Abordé sous cet angle, il revêt un caractère qui parle à mon plaisir de régler et piloter. Une monture pour passionnés donc ?!”

 

 

Positionnement & usage

En synthèse, le tableau de positionnement et d’usages permet, en un seul coup d’oeil, de saisir les capacités du vélo. (rafraîchir la page si le tableau ne s’affiche pas)

Comparer à celles des autres vélos à l’essai permettra de répondre à l’éternelle question > que vaut-il par rapport à d’autres ?! Rendez-vous prochainement sur la page du Comparateur d’essais VTTAE.fr pour en savoir plus…

Rédacteur
  1. J’ai eu la chance de l’avoir pour le week end et de l’essayer dans les trails tortueux du Pilat, et j’ai pris un plaisir fou dans le tortueux ! Je l’ai trouvé super stable et tout de même joueur, mais ce que j’ai aimé le plus c’est la gestion de la motricité qui est satisfaisante car le vélo prévient de manière progressive.
    Par contre il semblerait qu’il soit assez physique à emmener et peut embarquer vers l’extérieur si manque d’engagement.
    Dommage je dois le rendre 🙂

    1. Merci pour ce retour, j’y retrouve mes impressions 😉 Notamment la stabilité qui permet de s’exprimer dessus, la motricité bien gérée, mais qui demande de l’engagement par moment.

  2. Merci pour le test qui tombe à pic, j’hésite encore entre un RACE 2019 27,5 ou 29 …

    Je suis allé les essayer (en version 2018 comme vous), je les ai eu a disposition 2H environ.

    Mon bilan est moins extrême que vous. c’est vrai que sur le papier, vous avez entièrement raison. Mais quand on a les 2 bike a portée de main et qu’on jongle l’un avec l’autre. La différence est nettement moins “marquée”.

    Je trouve qu’on gagne plus en efficacité/relance/stabilité avec le 29, qu’on ne perd en agilité/nervosité.

    Alors c’est sûr qu’avec le 29 on calera moins facilement un manual dans le petit bout de ligne droite en descente. Mais quand on roule vite, il reste très très maniable et fun …

    Du coup, je suis toujours indécis dans mon choix, et je me dis que pour de l’engagé, un peu de bike parc, le 27,5 serait peut être le meilleur choix ?

    1. Merci pour ce retour. Comme je l’ai écris ici et à plusieurs reprises dans nos publications récentes, le choix entre 27,5 et 29 est plus une question de tempérament et de style de pilotage qu’autre chose. Deux notions éminemment subjectives, qui impliquent que certains sentirons une différence plus marquée que d’autres. En tant que journaliste, je me dois d’essayer d’évoquer toutes les différences, sachant que certains se retrouveront plus dans certaines que dans d’autres. Normal donc que votre impression diffère donc légèrement et que mes propos forcent un peu le trait. L’important pour moi reste que vous n’ayez pas trouvé une différence que je n’aurai pas évoqué 😉
      Ne cherchez pas “le meilleur” ou “celui que la logique voudrait imposer pour telle ou telle situation”, mais bien celui qui vous semblait avoir le caractère qui vous plait le plus ! Les deux sont autant capables, le choix doit se faire sur vos propres envies/attentes. Si je reprends vos propos : préférez vous un vélo qui peu aller très vite, restera stable en ayant un côté maniable et fun (29′) ou privilégier un vélo qui se prête plus au manual, au bunny-up et qui fait tout pour être maniable (27′) ?

  3. donc il faut lire :
    en 27.5 pédalier trop bas pédale tape partout = pédale 150 …
    donc on fait le vélo en 29 mais trop long donc tourne pas … mais pédale touche plus .. youpi
    étonnant pour une boite avec top pilote , et leur ingé qui arrive à pondre le DH top .
    140 /150 mm pour faire de l’enduro alors que les gars en sec passe en 160 /170 mm … tous çà avec une batterie en plus et un moteur … comment y disait le monsieur parlant de sa philosophie : un vélo de DH qui c’est descendre … 140 mm ???

    1. Bonjour Jean-Jacques, je crains qu’il y ait totale méprise. Je ne saisi pas à partir de quels éléments de l’article ce raisonnement est fondé. À aucun moment il n’est question de hauteur de boitier tel que vous l’évoquez. Simplement une attention à avoir au moment de régler les suspensions pour tirer pleinement parti du vélo, ce qui a pour effet de jouer sur la hauteur du boitier sans la rendre critique pour autant… Nous sommes preneurs d’explications 😉

  4. Bonjour Antoine, j’ ose espérer prochainement un essai complet du Canyon Spectral ON pour avoir un bon point de comparaison avec le Meta. Peut être est-il la solution ultime avec la roue avant en 29 et en 27.5 à l’ arrière . J’ hésite vraiment entre les deux.
    Tes essais sont toujours aussi passionnants et instructifs

  5. Bonjour Antoine,
    Je possède ce vélo (monté à la carte) depuis juillet et mon ressenti est assez proche quant au fonctionnement de l’amortisseur Super Deluxe. Je précise que ma fourche est préparée (Vorsprung Luftkappe) et que j’utilisais sur mon précédent vélo un amortisseur Fox X2 que j’adorais avec un bon accord avant/arrière. Pesant 90 kg équipé je ne suis pas sûr que la suppression des spacers soit aussi probante. Quel amortisseur préconiseriez-vous ? Je penche vers les Fox X2 ou DHX2.
    Sportivement

    1. Bonjour David,

      ça ne coute rien d’essayer > autant commencer par retirer les spacers et voir si le gain correspond à vos attentes, puis agir en conséquence par la suite. D’ailleurs, les impressions recueillies à cette occasion serait une bonne base pour orienter vers X2 ou DHX2 ensuite, si besoin. On en reparle une fois le vélo essayé avec et sans spacers ? à très vite 😉

    1. Bonjour Laurent,

      l’information se trouve dans le tableau de présentation du vélo, en début d’article : 45km, 1300m de D+ majoritairement en mode d’assistance Trail et à intensité d’éfort du pilote i3 (https://endurance.prepa-physique.net/intensite-entrainement-velo-cyclisme/). Le pilote pèse chez nous autour de 75kg +/-5kg équipement compris. C’est donc à pondérer en fonction de votre propre gabarit.
      Ces données sont principalement données à titre comparative. Vous pouvez par exemple les comparer à celles indiquées pour d’autres vélos passés à l’essai au sein de notre magazine, pour vous faire une idée.

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